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Ecce Homo

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3 avril 2010

Joyeuses Pâques

20060416CartePaques

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1 avril 2010

Benoît XVI complice de pédophilie ?

30 mars 2010

Ricky martin fait enfin son coming out

Le chanteur Ricky Martin a publié hier un communiqué très personnel sur son site internet... En voici quelques extraits :

« Ces années de silence et de réflexion m'ont rendu plus fort et m'ont rappelé que l'acceptation doit venir de l'intérieur et que cette vérité-là me donne la force de conquérir des émotions dont j'ignorais l'existence.

Que se passera-t-il après ? Cela n'a pas d'importance. Je ne peux que me concentrer sur ce qu'il m'arrive en ce moment. Le mot "bonheur" prend un sens nouveau pour moi aujourd'hui. Cela a été un processus très intense. Chaque mot que j'écris dans cette lettre est né de l'amour, de l'acceptation, du détachement et de la réelle satisfaction. Écrire ceci est un grand pas vers ma paix intérieure et une partie vitale de mon évolution.

Je suis fier de dire que je suis un homme homosexuel heureux. J'ai beaucoup de chance d'être qui je suis. »

Il faut croire que devenir papa vous change un homme !

15 mars 2010

11 novembre 2009

J'ai rêvé

14/06/2008, fin du parcours de la Gay Pride de Toulouse, sur les bords de la Garonne, la Mère Supérieure des Sœurs de la Perpétuelle Indulgence du Couvent de Paris, accompagnée de son Adjointe en Second ont procédé à une prière un peu particulière.
Sur le thème du "I have a dream" de Martin Luther King, elles invitent à la tolérance, à la reconnaissance, à la prévention, dans un discours drôle, humoristique, créatif et militant.
A écouter sans modération.
Vive la tolérance ! Vive la Diversité !

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11 novembre 2009

Shelter

Film réalisé par Jonah Markowitz, « Shelter » raconte l'histoire d'un jeune homme, Zach (Trevor Wright), qui vit à San Pedro en Californie. Il renonce à son rêve d'école d'art pour subvenir aux besoins de sa famille composée de son père vieillissant et de son jeune neveu Cody. Lorsque Shaun (Brad Rowe), le frère de son meilleur ami, revient en ville, Zach trouve en lui un ami et un confident. Zach ressent de plus en plus d'attirance pour Shaun, et leur relation de « potes surfeurs » se transforme en quelque chose de beaucoup plus sérieux. Au point que Zach soit forcé de choisir entre continuer à faire passer les autres avant lui ou se battre pour ce qu'il veut vraiment pour lui-même...

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J'ai vraiment adoré ce film très romantique et je vous invite à le regarder sans tarder.

Je vous propose quelques images :

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11 novembre 2009

Soirée "Just Pacsed" le 28 novembre 2009

11 octobre 2009

Ptit Pédé

P'tit Pédé de Renaud

T'as quitté ta province coincée
Sous les insultes, les quolibets
Le mépris des gens du quartier
Et de tes parents effondrés
A quinze ans quand tu as découvert
Ce penchant paraît-il pervers
Que tu l'as annoncé à ta mère
J'imagine bien la galère

Petit pédé

T'aurais été couard pas de lézards
Besoin d' l'annoncer à personne
Mais c'est franchement une autre histoire
Que d'avouer j'aime les hommes
C'est pas d' ta faute, c'est la nature

Comme l'a si bien dit Aznavour
Que c'est quand même sacrement dur
A l'âge des premières amoursrenaud
Petit pédé

Toute sa vie à faire semblant
D'être normal comme disent les gens
Jouer les machos à tout bout de champ
Pour garder ton secret d'enfant
Dans le p'tit bled d'où tu viens
Les gens te traitaient pire qu'un chien
Il fait pas bon être pédé quand t'es entouré d'enculés
Petit pédé

A Paris tu as débarqué
Dans les back-room du Marais
Dans ce ghetto un peu branché
Tu as commencé à t'assumer
Pour tous les homos des bars gays
Tu étais un enfant perdu
Tu as été bien vite adopté
Même si c'était pour ton cul
Petit pédé

Tu t'es laissé aller parfois
A niquer plus que de raison
C'est ta liberté, c'est ton droit
T'as heureusement fais attention
Tu t'es protégé de ce mal
Qui a emporté tant de tes potes
Grâce à ce virus infernal
Ne sortez jamais sans capotes
Petit pédé

Bientôt tu trouveras un mec
Un moustachu ou un gentil
Alors tu te maqueras avec
Pour quelques jours ou pour la vie

Rêverez peut-être d'un enfant
Y en a plein les orphelinats
Sauf que pour vous papa, maman
C'est juste interdit par la loi

Petit pédé


Tu seras malheureux parfois
La vie c'est pas toujours le pied
Moi qui ne suis pas comme toi
Le malheur j'ai déjà donné
Qu'on soit tarlouze ou hétéro
C'est finalement le même topo
Seul l'amour guérit tous les maux
Je te le souhaite et au plus tôt
Petit pédé
Petit pédé...

11 octobre 2009

La mauvaise vie

newsmlmmd_48154ffef9305f2a50a54aec8d51996f_210_portrait_de_frederic_mitterrand_pris_lors_de_l_enrbMoins de quatre mois après sa nomination au ministère de la culture, Frédéric Mitterrand doit affronter les demandes de démission émanant de l’extrême droite et de la gauche. Frédéric Mitterrand a menacé de poursuivre "les personnes qui se sont rendues complices de l’ignominie" à laquelle il est à nouveau exposé.

Il y a un mois, Frédéric Mitterrand a apporté son soutien total au réalisateur franco-polonais Roman Polanski, qui a été arrêté par la police à Zürich pour l’affaire de mœurs où il est accusé de viol sur une mineure de 13 ans. Déclarant, à propos de cette affaire de viol, qu’il s’agissait d’ "une histoire ancienne qui n’a pas vraiment de sens", Frédéric Mitterrand a provoqué la colère et l’indignation d’associations de victimes telle que Innocence en danger qui le somme de s’expliquer sur ce qu’elle juge comme des propos complaisants à l’endroit d’un crime sexuel. Ce soutien, qui vilipende une "certaine Amérique qui fait peur", a provoqué des réactions négatives de la part de quelques hommes politiques et associations ainsi que l’incompréhension de la presse étrangère, notamment anglo-saxonne.

La vice-présidente du Front national Marine Le Pen a alors accusé Frédéric Mitterrand, sur le plateau de Mots croisés de France 2, d’avoir pratiqué le tourisme sexuel et trouvé du plaisir à "payer des petits garçons thaïlandais", évoquant son récit autobiographique La Mauvaise Vie paru en 2005. Le Front National avait mené des recherches et avait fait une bonne découverte avant de lancer l’offensive. Lors de la parution du livre, Frédéric Mitterrand avait répondu aux critiques en expliquant qu’il faisait la "différence entre garçon et petit garçon". En effet, le livre décrit les prostitués en question comme des jeunes hommes souvent étudiants et non des enfants, malgré l’emploi du mot "gosses".

Au Parti Socialiste, Benoît Hamon a jugé "choquant qu’un homme puisse justifier, à l’abri d’un récit littéraire, le tourisme sexuel", indépendamment de l’âge des prostitués alors que Bertrand Delanoë dénonce "une offensive populiste" contre Mitterrand. L’éditeur souligne qu’à la sortie du livre "aucune poursuite n’avait été engagée" à l’encontre de son auteur et que l’ouvrage "avait même recueilli de bonnes critiques littéraires et s’était bien vendu 190 000 exemplaires".

Pour mettre un terme à la polémique, Frédéric Mitterrand a intervenu le 8 octobre au journal télévisé de TF1 en reconnaissant avoir certes eu des relations sexuelles avec des jeunes hommes mais en aucun cas des mineurs et qu’il condamnait avec fermeté tout tourisme sexuel et acte pédophile. Quand Laurence Ferrari a demandé au ministre comment il pouvait être sûr que les garçons n'étaient pas mineurs, il a répondu : "Vous reconnaissez quelqu'un qui a 40 ans. Un boxeur de 40 ans ne ressemble pas à un mineur ". Frédéric Mitterrand a ensuite dénoncé les amalgames dont il avait été victime : "Oui j'ai eu des relations avec des garçons, on le sait, je ne le cache pas, mais il ne faudrait pas confondre, où alors on serait revenu véritablement à l'âge de pierre, il ne faut pas confondre l'homosexualité et la pédophilie. Et si vous lisez le livre bien clairement, je pense que c'est tout à fait évident". La journaliste lui a ensuite demandé s'il pensé avoir commis une erreur. Voici sa réponse : "Une erreur ? Sans doute. Un crime ? Non. Une faute ? Même pas. Puisque j'étais, chaque fois, avec des gens qui avait mon âge et qui étaient consentants, ou qui avaient 5 ans de moins. Il n'y avait pas la moindre ambiguïté".

Concernant l’affaire Polanski, Frédéric Mitterrand estime que les propos qu’il a tenus étaient en partie dus à l’émotion provoquée par son arrestation et qu’en tant que ministre de la Culture, il est de son devoir de soutenir un artiste, qui plus est français, mais que néanmoins il comprenait mieux, avec le recul, les actes qui étaient reprochés au réalisateur. Invoquant le soutien du président de la République et du Premier ministre, il réfute enfin toute idée de démission.

Alors que la polémique autour de "La Mauvaise Vie" semble se calmer, une autre affaire fait de nouveau parler de Frédéric Mitterrand. Une lettre parue dans un journal de la Réunion a provoqué la colère du ministre qui "ne supporte plus les attaques ", confie-t-il au Journal du Dimanche. "Je ne supporte plus les attaques", a déclaré le ministre.Lors d’un déplacement à Bordeaux, Frédéric Mitterrand a menacé de poursuivre "les personnes qui se sont rendues complices de l’ignominie" à laquelle il est à nouveau exposé.

Pour ma part, je soutiens Frédéric Mitterand qui n'a pas caché qu'il préférait les "amour tarifés" plutôt que l'illusion de l'amour. Effectivement, les thaïlandais comme tous les asiatiques font souvent plus jeunes que leur âge et il est difficile de savoir l'âge d'un jeune homme. Mais il suffit de lui demander pour s'en assurer. Enfin et pour conclure, je doute qu'il y ait beaucoup de prostitués males de 40 ans. Ces jeunes hommes ont souvent entre 18 ans et 25 ans. Ce n'est pas autant que leurs clients sont des pédophiles...

4 octobre 2009

Le fils de mes amis

Le_filsDes amis de Métropole étaient venus passés trois semaines de vacances et bien entendu, mon copain et moi les avons accueillis, deux chambres étant disponibles. Ils sont venus avec leur fils de 16 ans, un garçon superbe, Il était grand, élancé, le cheveu court, possédant une élégance naturelle, le verbe rare mais précis, le regard perçant qui contrastait singulièrement avec sa retenue permanente et son air qui en disait long, que j'analysais comme "Je fais la gueule. D’abord, je n’ai pas envie d’être là, ensuite vous êtes vieux et cons" Un superbe garçon mais silencieux, voire indifférent, le nez collé toute la journée dans des mangas ou sur sa PlayStation. Il faisait l’exaspération des parents, qui ne manquaient pas de lui dire : "Allez ! Il fait beau, profites de la piscine ! Sors le nez dehors !" J'ai, enfin nous, avons vite compris que ce garçon était des nôtres. Peut être ne le savait-il pas, peut être ne l’assumait-il pas encore, pas totalement. Mais sous ses airs absents et ronchons se cachait un réel futur allumeur. Il cherchait souvent à croiser mon regard et quand il y arrivait, je voyais un je ne sais quoi qui me mettait mal à l’aise. De ce fait, je l'évitais.

Et puis, cela est devenu plus évident, plus choquant. Les rares fois qu’il mettait le nez dehors, au bord de la piscine, c’était pour ostensiblement se baigner, au grand dam de ses parents, en caleçon, sans rien dessous, juste pour que cela colle à son corps en sortant, juste - j’en étais sûr maintenant - pour nous aguicher, nous allumer. Il ne se privait pas non plus de paraître, les jambes bien écartées, la braguette du caleçon béante, attirant mon regard et s’en amusant. Qu’attendaient ses parents, deLe_fils__1_ très bons amis à nous, en l’amenant chez nous ? En avoir le cœur net, que nous confirmions ce qui sautait aux yeux de toutes les façons. Je m’étais promis de leur parler avant la fin de leur séjour. Et puis il y eut cet après midi là, un après midi de fortes chaleurs, un après midi de sieste généralisée. Je suis sorti de ma chambre pour aller boire un verre d’eau. La porte de sa chambre était entrouverte. Il m’a appelé. Il était nu sur son lit, resplendissant, fier de son corps, fier de sa jeunesse, fier du trouble qu’il avait jeté sur moi, triomphant, savourant son succès ! Échec et mat ! En un instant, d’un seul regard, il m’avait vaincu, terrassé. J’ai jeté sur son bas ventre une serviette qui traînait là sur une chaise et ai fait mine de partir en colère. Il m’a rappelé : "Non, reste, j’ai à te parler". Et ainsi, il s’est libéré. Écroulé. Restait le petit garçon, encore sans copains, l’ami d’un seul, qui préférait les filles. Il m'a dit son enthousiasme pour Georges Clooney ou Mel Gibson plutôt que Julia Roberts, sa sexualité solitaire, son envie enfin d’un corps d’homme. De nouveau il s’est dénudé, de nouveau il m’offrait son corps vierge.

Le_fils__2_Oui, j’étais subjugué ! J’étais subjugué par la magie fragile de ce corps d’adolescent. J’ai posé ma main sur son ventre, si près, si près de son pubis, je ne pouvais plus quitter des yeux ses couilles déjà grosses, délicieuses, fermes olives. Alors, j’ai posé un baiser sur son front. J’ai de nouveau recouvert sa nudité d’un chaste drap. J’ai souri et je l'ai rassuré en lui disant que je pouvais l’aider et que je pouvais parler à ses parents. Je lui ai dit qu'aujourd'hui, la vie de PD n’avait rien de terrible, que c'est bien plus facile que pour ceux de ma génération. C’est comme les autres avec, oui, quelques fois le regard des autres en plus à supporter, ignorer. C'est comme les autres sauf qu'il faut encore s'autocensurer et par exemple, ne pas embrasser son copain en public ou faire ce que les hétéros se permettent de faire. J’ai quitté sa chambre et je suis allé à la cuisine. J’ai bu une grande rasade d’eau puis j'ai piqué une tête dans la piscine, nu, pour me rafraichir les idées en pensant à mon copain qui lui faisait la sieste.

24 septembre 2009

Alan Turing, homosexuel persécuté, réhabilité

TuringLe Premier ministre britannique Gordon Brown, a publié en fin de semaine dernière sur son site des excuses officielles pour la manière «épouvantable» et «inhumaine» avec laquelle fut traité le mathématicien Alan Turing, en raison de son homosexualité. Alan Turing est connu pour avoir été l'un des pères de l'ordinateur moderne et pour avoir dirigé les travaux de décryptage des codes secrets allemands Enigma durant la seconde guerre mondiale. L'Histoire, sans sa contribution, aurait pu être très différente, a rappelé Gordon Brown dans son communiqué.

En 1952, Alan Turing fut persécuté pour son homosexualité et condamné pour «outrage à la pudeur». Il eut alors le choix entre la prison ou la castration chimique. Alan Turing se suicida deux ans après avoir choisi la castration.

À travers Alan Turing, Gordon Brown a également présenté ses excuses aux milliers d'autres homosexuels qui furent persécutés et condamnés comme lui en vertu de lois homophobes. «Je suis fier que ces jours soient révolus, et qu'au cours des douze dernières années, le gouvernement ait tant fait pour rendre la vie plus juste et plus équitable pour notre communauté LGBT. Cette reconnaissance qu'Alan fut une des victimes de l'homophobie les plus célèbres de Grande-Bretagne est un pas de plus vers l'égalité», a-t-il ajouté.

13 juillet 2009

Eté = Tour de France

Au début du mois de juillet, c'est le Tour de France. Non que j'aime particulièrement ce sport, j'aime plutôt les cyclistes...

cyclismecyclisme__1_cyclisme__2_cyclisme__3_cyclisme__4_cyclisme__5_Cyclisme_8cyclisme__6_

28 juin 2009

Fuck You (bis)

28 juin 2009

Fuck You

Look inside, look inside your tiny mind, then look a bit harder
Cause we’re so uninspired, so sick and tired, of all the hatred you harbour
So you say it’s not OK to be gay, well I think you’re just evil
You’re just some racist, who can’t tie my laces
Your point of view is medieval
Fuck you (fuck you)
Fuck you very very much
Cause we hate what you do and we hate your whole crew
So please don’t stay in touch
Fuck you (fuck you)
Fuck you very very much
Cause your words don’t translate and it’s getting quite late
So please don’t stay in touch
Do you get, do you get a little kick out of being small-minded ?
You want to be like your father, it’s approval you’re after
Well that’s not how you find it
Do you, do you really enjoy living a life that’s so hateful ?
Cause there’s a hole where your soul should be
You’re losing control a bit
And it’s really distasteful
Fuck you (fuck you)
Fuck you very very much
Cause we hate what you do and we hate your whole crew
So please don’t stay in touch
Fuck you (fuck you)
Fuck you very very much
Cause your words don’t translate and it’s getting quite late
So please don’t stay in touch
Fuck you (x7)
You say you think we need to go to war
Well you’re already in one
Cause it’s people like you
That need to get slew
No one wants your opinion
Fuck you (fuck you)
Fuck you very very much
Cause we hate what you do and we hate your whole crew
So please don’t stay in touch
Fuck you (fuck you)
Fuck you very very much
Cause your words don’t translate and it’s getting quite late
So please don’t stay in touch
Fuck you (ad lib.)



Regarde bien
Regarde bien au fond de ton crane si étroit
Regarde un peu mieux
Parce qu'on en a marre
On en est malade
De toute cette haine que tu trimballes

Et tu dis
Que c'est vraiment pas bien d'être gay ?
Moi je pense que t' es juste qu'un mauvais
Tu n' es qu'un raciste,
Même pas digne de nouer mes lacets
Tes idées sont carrément médiévales

Va t'faire foutre
Va t'faire mettre vraiment bien bien profond
Parce qu'on hait tout ton être
Comme on hait tout ton clan
Alors s'il te plait, fous moi le camp

Va te faire foutre
Va te faire mettre vraiment bien bien profond
Pour tes mots sans cervelle
Et comme il se fait tard
Je t'en prie, bouge, bouge d' ici

Prends tu ton pied ?
Est-ce que tu prends ton pied
En plus d'être taré ?
Tu veux être comm' ton père
Assurer tes arrières
Mais c'est pas comme ça que t' y arriveras

Est-ce-que
Est-ce-que tu te réjouis de vivre
Une vie si détestable ?
Parce qu'il y a un trou où
Ton âme devrait être et
Tu en perds le contrôle et
C'est vraiment vraiment une sale blague

Va t' faire foutre
Va t'faire mettre vraiment bien bien profond
Parce qu'on hait tout ton être
Comme on hait tout ton clan
Alors s'il te plait, fous moi le camp

Va t' faire foutre
Va t' faire mettre vraiment bien bien profond
Pour tes mots sans cervelle
Et comme il se fait tard
je t'en prie, bouge bouge d' ici

Va t' faire foutre,
Va t' faire mettre vraiment bien bien profond
Tu dis qu'on doit faire la guerre,
Bah, t'es déjà en guerre,
Parce que c'est les mecs comm' toi qu'on devrait virer
Vraiment personne ne te demande ton avis

Va t' faire foutre
Va t'faire mettre vraiment bien bien profond
Parce qu'on hait tout ton être
Comme on hait tout ton clan
Alors s'il te plait, fous moi le camp

Va t' faire foutre
Va t' faire mettre vraiment bien bien profond
Pour tes mots sans cervelle
Et comme il se fait tard
je t'en prie, bouge bouge d' ici

(Fuck You very much, Lilly Allen, 2009, trad. et adapt. Felix Culpa, 2009)
 

22 juin 2009

C'est bientôt l'été en France

Oui c'est bientôt l'été et les choupinous vont être de sortie...

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Il n'y a pas que les choupinous hélas...

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21 juin 2009

La vie des homos en prison

prison_c"Libération" revient sur le cas des deux détenus pacsés dans la prison d'Eysses, et enquête sur la place de la sexualité, et de l'homosexualité, dans le quotidien carcéral. Le 11 mai dernier, le quotidien Libération revenait dans un article sur la situation des deux prisonniers pacsés , et vivant dans une même cellule, au centre de détention d'Eysses, dans le Lot-et-Garonne : "Depuis que le quotidien Sud Ouest a dévoilé leur vie commune, ils ont peur. Ils craignent les quolibets des autres détenus. Ils s'inquiètent qu'on les sépare. Selon leur avocate, ils se connaissaient avant d'être incarcérés dans l'établissement". En fait, c'est un détenu d'Eysses en permission qui a raconté l'histoire à l'association la Mouette, qui défend les enfants et les victimes de crimes. La présidente de la Mouette y voit une "bonne occasion de mettre ce sujet tabou sur la table".

Libération affirme ainsi dans un article annexe que "la sexualité carcérale est en liberté surveillée". Henri de La Motte Rouge, chercheur à Paris-X, estime que dans les prisons françaises, "l'homosexualité consentie est tolérée chez les femmes, stigmatisée chez les hommes, les homos étant parfois maltraités par les détenus qui les abusent sexuellement ou s'en moquent".

21% des détenus affirment avoir eu des relations homosexuelles : Selon Gwénola Ricordeau de l'université Paris IV, les statistiques existantes révèlent que sur 421 détenus interrogés, 21% affirment avoir eu des relations homosexuelles pendant leur incarcération. "Malgré la bienveillance d'une partie de l'administration et d'autres détenus, être homosexuel en prison est une situation difficile, et le cadre fondamentalement hostile", souligne la chercheuse.

En tout cas, concernant la sexualité en prison, "d'autres pays sont plus avancés", note Libération, comme l'Espagne où un droit à la sexualité émerge ! Mais, chacun sait, qu'en matière carcérale, la France n'est pas digne des valeurs des droits de l'homme qu'elle proclame dans le monde entier : rappelons qu'au 1er avril, il y avait 63 351 personnes détenues dans les prisons françaises pour 52 741 places. Ainsi, en 2008, 14 établissements ont enregistré un taux de surpopulation supérieur à 200 % ! Tout simplement scandaleux.

source :  http://www.tetu.com/

18 juin 2009

Gay Prides à Biarritz et Toulouse

14 juin 2009

David & Jonathan

David_and_JonathanL'Ancien Testament décrit des relations entre hommes. C'est le cas pour Jonathan, fils du roi Saül et ami intime de David, alors courtisan, et futur roi illustre dans la Bible. Dans la lamentation de David sur la mort de Jonathan, on emploie le même mot aimer que celui qui décrit la relation du Bien-Aimé et de la Bien-Aimée du Cantique des Cantiques, texte qualifié de sensuel, tant au niveau littéral qu'au niveau symbolique. Quantité d'expressions décrivant l'introduction de David à la cour de Saül sont celles qui décrivent l'accueil de la jeune mariée, ce qui explique la fureur de Saül (complétant un tableau symptomatique typiquement dépressif) lorsque il est abandonné par David au profit de Jonathan.

Premier livre de Samuel (traduction Louis Segond 1910) :

(18.1)David avait achevé de parler à Saül. Et dès lors l'âme de Jonathan fut attachée à l'âme de David, et Jonathan l'aima comme son âme.

(20.3)David dit encore, en jurant : Ton père sait bien que j'ai trouvé grâce à tes yeux, et il aura dit : Que Jonathan ne le sache pas ; cela lui ferait de la peine. [...]

(20.17)Jonathan protesta encore auprès de David de son affection pour lui, car il l'aimait comme son âme.

Des adeptes de la cause homosexuelle souhaitent faire de ce passage de la Bible, la seule allusion à l'homosexualité qui ne soit pas assortie d'une condamnation. Mais, c'est une affirmation fragile. Toutes les amitiés masculines, telles que celle décrite entre Jonathan et David, sont-elles des relations homosexuelles ? Le texte ne donne aucun indice d'une relation sexuelle, qui aurait été sans doute sévèrement condamnée comme dans le reste de la Bible. David fait par ailleurs preuve d'un grand attrait constant pour les femmes. La « peine » de Saül est très certainement liée à la jalousie de Saül face à la popularité grandissante de David qui les opposera jusqu'à la mort de Saül, auquel David succèdera.

Indépendamment de son interprétation, c'est en référence à ces passages bibliques que l'association David et Jonathan, mouvement chrétien d'accueil des personnes homosexuelles, a choisi son nom et agit déjà depuis plus de trente ans.

A la suite d'une table ronde sur l’homosexualité et le christianisme, une association informelle de personnes se crée le 15 décembre 1971 à Paris, dont le nom sera Christianisme et homophilie, David et Jonathan étant le nom de leur bulletin. Il faudra attendre dix années afin que le groupe se transforme officiellement en association loi 1901 en octobre 1983. L'activité de l’association consistait en l'organisation de débats et de rencontres envers les personnes homosexuelles ayant la foi. L’organisation, à l’origine uniquement parisienne, L'association est membre du CGL Paris et de l'inter-LGBT s’étend à travers la France, puisque des groupes locaux dans quelques grandes villes françaises voient le jour.

http://davidetjonathan.free.fr/

13 juin 2009

Gay Pride 2009 à Bordeaux

2 juin 2009

Glenn

Il était 13h30, on sonna au portail. Ma chienne « Alien », mon berger malinois, aboya bruyamment. Je regardais qui pouvait venir me troubler dans la lecture de mon polycopié de droit et je vis que c’était Glenn, mon voisin d’en face, que je connaissais depuis l’enfance. J’étais seul à la maison puisque mon père était au boulot et ma mère était chez sa mère pour tout l’après-midi. Et je savais que j’avais la paix jusqu’à 17h30.

nv26_050J’allais au portail ouvrir à Glenn et tenir la chienne qui ne laissait entrer personne d’étranger et de plus, Glenn avait peur de ma chienne, qui était plutôt impressionnante.

Je demandais à Glenn l’objet de sa venue et il me répondit qu’il se faisait chier. Je l’invitai à entrer, contrarié d’être dérangé dans la lecture de mes cours, mais je n’étais pas insensible à la beauté de Glenn que je jugeais cependant inaccessible vu ses succès féminins.

Glenn s’affala sur le canapé. Il avait 18 ans. Il était bien foutu. Mince, le corps bien dessiné, les abdominaux biens dessinésGlenn que je ne pouvais m’empêcher de regarder vu qu’il était torse nu. Il avait la beauté de la jeunesse. Il venait de louper son bac car il ne foutait rien au lycée et son père, un mec macho plutôt coureur, ne s'occupait guère de son fils.

Cet été, il ne travaillait pas et occupait ses mornes journées de vacances à bricoler sa 125 cm3 ou à s’exciter sur son piano. Je lui proposai un coca et je m’assis par terre, appuyé sur une chauffeuse alors que Glenn s’allongea sur le canapé en prenant ses aises. Nous regardâmes la télé, la chaleur et la fatigue m’interdisant tout autre activité. Glenn sirota son coca qu’il reposa sur la table du salon.

Alors que je tentais de me passionner sur la survie probable du héros dans une mauvaise posture, je sentis qu’on me caressait le genou. Je contemplai avec stupéfaction la main gauche de Glenn posée sur mon genou le caressant légèrement. Je le regardai et il me lança un charmant sourire. « Glenn, pédé ? Non !? ». « A quoi joue-t-il ?» me demandai-je. Etait-ce un test ? Ou une provocation d’hétéro ? Je le laissai faire son manège, décidant d’attendre la suite des événements. Il continua à masser mon genou et sa main glissa sur ma cuisse. Je sentis une petite décharge électrique sur le gland et ma verge commença à gonfler. A mon tour, je caressai son genou, captivé par le héros qui s’en était sorti et qui allait balancer la vanne de fin d’épisode. Nous continuâmes pendant toute la plage de publicité et le générique de la série suivante. Je pris l’initiative de descendre sur sa cuisse soulevant un peu son bermuda en toile légère qu’il portait.

Sa main descendit encore et il me caressa l’haine. Maintenant, mon sexe déformait visiblement mon short pourtant large. A travers la toile de son bermuda, en prenant soin de ne pas toucher à son sexe, je lui caressai le pubis, les haines et les cuisses. Je m’enhardis et je glissai vers son ventre. Sa peau était très douce. Il me laissa faire en regardant ma main. Son doigt alla dans les replis secrets de mon short et il souleva mon slip pour atteindre la base des testicules. Je glissais ma main entre son caleçon et son bermuda. J’atteignis son sexe qui était dur. Autant que je pouvais en juger, sa taille était prometteuse de plaisirs futurs. Je le masturbai à travers son sous-vêtement. J’écartai les jambes pour laisser passer sa main qui me caressa le sexe. Je passai un doigt sous son caleçon. Je touchai sa verge et je lui titillai le bout de son gland circoncis. Elle réagit à cet effleurement et se tendit un peu plus. Je passai le reste de la main et je commençai à le masturber lentement, les yeux fixés sur l’écran où les images n’avaient plus aucun sens.

Glenn__1_Nous nous masturbâmes pendant un petit moment. Puis, je me levai et m’approchai de lui. Des deux mains, je retirai son bermuda vert et rose et son caleçon à petits cœurs rouges. Son sexe apparut dans toute sa splendeur, au milieu du nid noir de ses poils pubiens. Il était plus gros que je n’avais pu l’imaginer. Je grimpai sur le canapé. J’écartai ses cuisses et je me baissai. Je lui donnai quelques petits coups de langue sur ses testicules ronds et je descendis vers leur base pour remonter vers la naissance de sa verge. Il frissonna malgré la chaleur qu’il faisait. Je lui caressai les hanches et le pubis. Je le masturbais alors que ma langue lui léchait la bourse et la naissance de ces fesses. Je remontai de la pointe de la langue vers les plis de l’haine d’un coté puis je recommençai de l’autre coté. Son odeur était un peu forte et je gouttai à quelques perles de sueur salée. J’engouffrai son gland, tout rouge dans ma bouche et il hoqueta. Nous nous regardâmes dans les yeux pendant que je m’activais sur sa verge. Il avait un regard concentré mais souriant et lubrique. Je le soulevai un peu et mes doigts cherchèrent sa rondelle. Je lui stimulai le gland avec des petits coups de langue sur sa base puis sur son frein alors que je le branlai et caressai son anus. Il gémit et ses mains me prirent par les épaules pour exercer une pression et j’avalai son sexe plus profondément.

Je quittai sa verge pour gober ses testicules. Je les léchai et je les parcouraiGlenn__2_ rapidement avec ma langue. Je mouillai un doigt et je tentai de pénétrer ses fesses. Je le fis tourner rapidement sur son oignon et j’appuyai lentement. Je fus surpris qu’il entre sans trop de problème. Je l’enfonçai jusqu’au bout et Glenn poussa un soupir de contentement. Je repris ma fellation en même temps que je le doigtai. Il gémit. Je pris une cadence assez rapide. Je le branlais alors que ma bouche s’occupait de son gland. Mon doigt entrait et sortait rapidement. Ses pieds se tortillaient et ses jambes étaient tendues comme des cordes de piano. Son souffle était rapide. J’accélérai mes mouvements sur son chibre, et dans ses fesses. Sans crier gare, je sentis son sperme fluide et parfumé jaillir dans ma bouche. Je continuai alors que j’avalai sa semence. Sa verge se dégonfla lentement. Je retirai mon doigt et je lui caressai le sexe et son doux pubis. Je me levai pour boire un verre d’eau pour faire passer le goût un peu âcre de son sperme. Le héros de la télé était dans une mauvaise posture et on ne savait pas s’il allait s’en sortir.

Je revins près de lui et je le regardai dans les yeux. Il me lança un sourire charmeur. Je l’embrassai et nos langues se mêlèrent. Je lui glissai à l’oreille : « on peut aller dans la chambre ? ». Il hocha la tête et il me suivit dans ma chambre, nu comme un vers. Je montai sur le lit et je me couchai sur lui. Nous nous embrassâmes et je sentis son sexe se durcir à nouveau. Je commençai un va-et-vient frottant nos sexes l’un contre l’autre tout en caressant ses épaules, ses tétons et ses hanches. Il posa ses mains sur mes fesses. Il les malaxait puis les écartait pour faire glisser ses doigts dans ma raie. Je me cambrai un peu plus et il put atteindre l’anus. Je continuais mon va-et-vient. Je sentis la chaleur de la volupté monter en moi.

Nous grognâmes alors que j’accélérai la cadence de mon bassin. Il écarta ses cuisses et il m’emprisonna mes jambes. J’étais complètement enveloppé par son corps frêle et juvénile. Je lui donnai des coups de boutoir et nos sexes se cognaient et massaient nos testicules. Nous ondulions à un rythme qui se faisait de plus en plus rapide. Je m’accrochai à ses fesses et je me tendis à plusieurs reprises, écrasant son pubis et nos sexes. Ma jouissance monta rapidement et j’explosai sur son sexe dans un râle de plaisir. Je retombai un peu lourdement. Je l’embrassai goulûment. Je me mis sur le coté. Nous étions pleins de mon sperme. Je le masturbai à nouveau tandis que je l’embrassai et que je lui pinçai les tétons. Mes mouvements se firent plus rapides et je caressai maintenant sa rondelle et sa raie. Une secousse parcourut son corps et je sentis son sperme chaud jaillir sur son ventre, se mélangeant au mien.

Je pris des mouchoirs en papier sur la table de nuit et j’essuyai délicatement notre sirop de corps d’homme. Je le regardai dans les yeux. Je n’en revenais pas qu’il soit homo ou même bisexuel, peut-être. Enfin, il y en avait dans mon entourage quelqu’un comme moi. Son regard me renvoyait la solitude que je ressentais. Je ne savais pas s’il avait des petits copains. Je l’embrassai tendrement comme pour lui mettre du baume au cœur.

Nous restâmes enlacés, nos sexes à moitié mous. Il me tournait le dos, nos jambes étaient emmêlées et je l’enlaçai par la taille. Je l’embrassai de temps en temps sur la nuque. Je rêvassai à un avenir possible de ce qui était en train de se passer. Peut-être que nous pourrions vivre une longue histoire d’amour passionnée ou peut-être cela ne serait alors juste une relation intense de pur sexe, sans véritablement de lendemain.

A cette pensée, mon sexe se raidit. Je l’embrassai à nouveau. Je lui caressai son pubis et son ventre. J’ondulai un peu mon bassin et ma verge se frotta sur ses fesses. Il tourna la tête et il m’embrassa fougueusement. Son sexe était à nouveau tendu. J’ondulai de plus en plus rapidement. Il se mit sur le ventre et il se cambra m’offrant son séant. Je l’embrassai sur la nuque puis par sauts successifs je descendis vers ses reins. J’écartai ses globes et sa rondelle m’apparut.

Je mis la pointe de ma langue en haut de sa raie et je descendis lentement vers la base de ses testicules en m’attardant unGlenn__3_ peu sur son oignon. Je remontai lentement. Je donnai des petits coups de langue sur son anus puis j’arrivai en haut de sa raie. Je repris mon manège en sens inverse mais en restant un peu plus sur sa rondelle. Après plusieurs va-et-vient, ma langue tenta de s’engouffrer à l’intérieur par l’entrée de son anus serré. Je lui malaxai ses fesses et ma langue était au plus profond de lui. Elle gesticulait rapidement, donnait des coups, léchait comme étant douée d’une vie propre sans que je la contrôle vraiment. J’entendis gémir Glenn se tortiller sous mes caresses buccales. De temps à autre, je le masturbai très rapidement déchaînant en lui des petits cris.

Je salivai abondamment. Je crachai dans ma main et m’enduis mon sexe. Son anus était copieusement lubrifié par ma langue. Je lui présentai mon gland. Je le pris par les hanches et je poussai prudemment. Je sentis mon gland être enserré par un étau de chair. Glenn respirait fort. Je continuai ma progression, lentement mais sûrement. Puis je sentis que mon gland avait passé son anneau. Je pus alors m’enfoncer complètement en lui. Il poussa un gémissement. Je me couchai sur son dos et lui demandai à mi-voix si cela allait. Il me répondit par l’affirmative avec son sourire charmeur. Je commençai alors aller et venir dans son corps. Mon sexe était complètement emprisonné dans ses tendres chairs moites et chaudes. J’accélérai le rythme et je l’entendis ahaner à chacune de mes pénétrations. Je me concentrai pour ne pas jouir. Mon bas-ventre se balançait et je variais la cadence. J’adorais son petit cul glabre, serré et très doux. Il avait l’air d’apprécier ma pénétration ce qui m’excita encore plus.

Je sortis de ses fesses. Il était maintenant complètement ouvert. Je le retournai sur le dos. Je soulevai ses jambes et je les posai sur mes épaules. Son anus m’apparut prêt à gober ma verge. Je le pénétrai sans plus de ménagement. J’allais et venais tandis que je pouvais lire sur son visage le plaisir que je lui procurai. Il se masturba au rythme de mes hanches. J’accélérai puis au moment où je sentis la volupté et le plaisir déferler en moi, je décélérai. Je contrôlai le flux et le reflux des marées de Glenn__4_la jouissance. Je me retirai à nouveau. Je mis Glenn sur le coté. Je lui écartai les jambes et j’entrai à nouveau en lui. Je ne pouvais plus quitter ses entrailles. Je lui caressai son sexe, ses testicules, et l’entre jambe pendant que je le pistonnai rapidement. Nous gémissions de plaisir. Je basculai sur le dos et il s’assit sur mon chibre. Je lui saisis les hanches et je le fis coulisser sur mon sexe complètement tendu. Il descendait et montant rapidement. S’il continuait j’allais exploser dans ses entrailles. Il se masturba en cadence et il me massa les testicules. Il gémissait et son corps se tendait. J’entendis ses fesses claquer sur mon pubis. Quand il était assis, Je m’arc-boutai pour le pénétrer encore plus profondément.

Je le basculai sur le ventre. Il était à quatre pattes. Cette fois, j’allais nous mener vers les sommets du plaisir et de la jouissance. Je le pris par les hanches et j’accélérai mon va et vient. Je soufflai très fort et lui hoquetait à chaque fois que j’étais complètement en lui. Il continuait à se masturber. Je laissai le plaisir se déchaîner dans mon corps. J’entendais le claquement de mon bassin sur ses rondeurs et qui annonçait nos cris de plaisir. Un tremblement me parcourut et j’explosai en lui dans un feulement. Je continuai à le pistonner tandis que d’une main je le remplaçai pour sa masturbation. Il gémit et cracha son sperme sur ma main et sur les draps. Je n’avais pas débandé. C’était exceptionnel. Je continuai à le pénétrer, très rapidement, férocement et je sentis à nouveau le plaisir monter. Je le pénétrai si violemment que je le soulevai maintenant avec coup de rein. Je me dégageai de ses rondeurs et je déchargeai à nouveau sur ses fesses. Je m’écroulai sur lui complètement essoufflé.

Nous restâmes un moment complètement rompu par cette chevauchée épuisante. Il m’embrassa et se rendit aux toilettes. Il se dirigea vers la salle de bain où j’entendis l’eau couler. Il revint dans la chambre. Il remonta sur le lit et m’embrassa fougueusement. Puis il sortit de la chambre. Je me levai à mon tour et je le rejoignis dans le séjour. J’étais complètement nu, ma verge sentait le foutre. Il s’était rhabillé. A la télé, un héros balançait sa vanne de fin d’épisode. Glenn s’approcha de moi. Il prit mon sexe dans sa main et m’embrassa. Il me lança un de ses sourires craquants et me dit « à plus tard ». J’allai dans la salle de bain et je pris une douche rafraîchissante et apaisante. Avec une joie intérieure intense, je repensais à ce qui c’était passé. Mon sexe se tendit à nouveau.

Nous passâmes les semaines suivantes à faire régulièrement l’amour lors de mes après-midi de solitude mais je savais que cela allait s’arrêter car je quittais la Nouvelle Calédonie pour poursuivre mes études supérieures en Métropole.

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